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Science et conscience

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Par Karim Nadjaoui *

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La masse manquante, énergie du vide, matière sombre ou énergie noire, il s’agit de la même chose qui occupe les devants de la scène médiatique scientifiques mondiale, et pour lesquelles d’énormes sommes d’argent et matériels ont été consacrés et qui a mobilisé des centaines, voire des milliers de chercheurs pratiquement dans tous les pays, tels les USA, la France, l’Angleterre et le Japon, jusqu’ici considérés comme les grands pôles de la science, n’est en réalité qu’un faux concept, né il y a plus de 70 ans et attribué à l’astronome suisse Fritz Zwicky, qui le premier a eu l’idée d’émettre cette hypothèse de matière invisible dans les années 30. S’appuyant sur les travaux d’Edwin Hubble, également erronées, Fritz avait pensé que les amas de galaxies devaient contenir une quantité énorme de matière invisible. Avant de continuer, je vais donner un exemple concret en politique pour comparer l’état des lieux dans le domaine des sciences de l’univers. Pour qu’un pays puisse avancer dans son développement d’une manière générale, il lui faut instaurer des lois dans tous les domaines (administration, économie, etc.) et si au bout d’un certain temps, on voit que ces lois ne répondent ni à la réalité du milieu qui a changé, ni au contexte général par des résultats médiocres en-dessous des estimations. La première des choses à laquelle on pense est évidemment la réforme de ces lois pour aspirer à de meilleurs résultats sur le plan économique surtout. J’insiste sur le mot “Réforme” pour revenir au domaine de la science, qui elle s’appuie sur des lois physiques, des théories et également des modèles. Donc, à mon avis, et ce n’est pas uniquement un avis, plus encore, c’est une certitude que je suis en mesure de démontrer, le développement futur des sciences de l’univers passe pour une réforme des théories scientifiques en vigueur, qui ont toujours constituées des balisages pour des chercheurs au point d’étouffer toute créativité chez la grande majorité des savants et provoquer le dégoût de bon nombre d’étudiants des filières physiques. Donc, il est temps de réformer ces théories sacralisées dans l’intérêt de la science, longtemps considérée comme des monuments religieux auxquels on ne peut d’ailleurs même pas toucher, ni faire allusion. C’est devenu un sacrilège dans certains milieux scientifiques considérés comme les plus cartésiens, de parler d’une remise en cause de la relativité générale, de l’attraction universelle ou de l’expansion de l’univers et c’est là où réside la grande erreur des scientifiques. Il faut une très bonne dose de courage pour s’attaquer à ce problème de réformes de certaines théories et modèles en vigueur. Ces remises en cause sont le thème de mes travaux de recherche développés depuis plus de 15 ans et qui se sont soldés par l’élaboration d’une théorie que j’ai appelé “La théorie globale”, comprenant trois volets :- volet astronomique- volet géophysique- volet physiqueLa théorie globale est basée sur la remise en cause inévitable de plusieurs théories en vigueur et même sacralisées dont les principales sont pour ordre chronologique de leur adoption :- La théorie de l’hélio-centrisme de Nicolas Copernic- La théorie de l’attraction universelle d’I. Newton- La théorie de la relativité générale d’Albert Einstein- La théorie de l’expansion de l’univers d’Edwin Hubble- La théorie de la tectonique des plaques- La théorie de l’inversion du CMTIl est, évidemment, illogique de parler dans le domaine de la science de progrès et de futurs résultats en travaillant avec des outils obsolètes, et c’est le cas de le dire.Comment peut-on parler de progrès en astronomie, alors que les théories avec lesquelles on travaille et qui constituent les outils de l’astronomie et de l’astrophysicien sont obsolètes et largement dépassés depuis des siècles. Nous assistons à un enchaînement d’erreurs qui s’accumulent et se répètent, s’éloignant ainsi de la réalité scientifique, déroutant encore davantage les scientifiques dans leur quête de la vérité du cosmos.La preuve est que chaque décennie apporte son lot d’hypothèses ambiguës et contradictoires, de modèles erronés, de l’existence de particules exotiques jusqu’ici jamais prouvées, ainsi que les reprises d’expériences erronées pour appuyer des hypothèses extravagantes, en multipliant les publications scientifiques. On dirait que les scientifiques sont tous d’accord pour que ces erreurs persistent et dès qu’un évadé du groupe se détache et aborde la remise en cause des théories en vigueur, la sonnette d’alarme se déclenche et pratiquement, tout le monde se ligue contre lui.D’abord, il est traité de charlatan, isolé, interdit de publication jusqu’au point de s’exiler.C’est le cas de l’astrophysicien Alton Harp, exilé des USA et vivant actuellement en Allemagne, qui a été le premier à remettre en cause l’expansion de l’univers de Edwin Hubble, après les années 60, dès qu’il s’est aperçu à la suite de nouveaux résultats obtenus dans l’étude des quasarrs qu’Edwin Hubble s’était trompé.On ne peut être plus royaliste que le Roi. Si Alton Harp a eu le courage de remettre en cause les travaux de Hubble, ce n’est pas par jalousie ou négativisme, c’était les résultats qui l’exigeaient, d’ailleurs pour les gens qui ne le connaissent pas, c’était l’assistant d’Edwin Hubble et s’il s’agissait de défendre la mémoire de ce dernier, il était l’homme le mieux placé pour le faire, seulement c’est ça la science.Ce qui m’est arrivé est pire encore, en annonçant les résultats de mes travaux de recherche depuis septembre 1996, date de la première publication (résumé) par voie de presse, le blocage a commencé d’abord auprès des institutions de recherches censées prendre en charge, vérifier et valider ce travaux, en l’occurrence le CRAAG de Bouzaréah, ministère de la Recherche scientifique, université de Bab Ezzouar, l’Agence spaciale algérienne, en tous cas, tout le monde (en Algérie), a eu vent de mes travaux et le plus drôle dans tout ça, c’est que personne n’est intéressé par mes travaux et on s’est contenté de me condamner par (contumace) et j’ai été traité de tous les noms. C’est ça l’encouragement chez nous. Je souhaite vivement que les gens qui n’ont pas encore pris connaissance de mes travaux, de grâce, qu’ils s’abstiennent de me condamner ou de porter de faux jugements gratuitement. J’ai tellement souffert des comportements indignes de mes détracteurs de l’ombre, au point où jusqu’à présent, je n’ai pas encore publié mes travaux de recherche. Ma bonne éducation ne me permet pas de les traiter autrement que comme des chercheurs qui n’ont pas encore entrevus la réalité. C’est une question de conscience. Me défendre oui, insulter les scientifiques malgré le tort causé, non.J’avais organisé, le 27 juillet 2002, une conférence de presse à la Maison de la presse Tahar-Djaout, pour annoncer mes résultats scientifiques, puisque les institutions n’ont jamais été intéressées, et cela depuis 1996, par mes travaux. Croyant bien faire et poussé par mon nationalisme, j’ai été boycotté par la presse francophone qui se considère comme la vitrine de l’intelligensia, prônant la démocratie et défendant le droit de savoir. A part quelques quotidiens arabophones qui ont assisté jusqu’à la fin et ont rapporté mes propos, personne d’autre. Alors qu’avec un scientifique étranger, tout le monde se bouscule pour décrocher un entretien. Je précise, encore une fois, je ne suis pas en mal de publicité, je ne fais que mon devoir de communiquer le résultat de mes travaux, qui est le devoir de n’importe quel chercheur. Je suis au courant de tout ce qui se fait à travers le monde en matière de recherches, et cela pour dire que je ne viens pas du Moyen-âge, même si mes travaux abordent des sujets et débats clos,faussement, depuis des siècles. Tout l’édifice théorique avec lequel on a travaillé jusqu’ici en astronomie, physique et géophysique doit s’effondrer et se reconstruire conformément à la réalité. C’est le prix à payer pour réhabiliter la science et rétablir la vérité scientifique.Pour terminer, je ne dirais pas plus que cette phrase : Je défie tout scientifique du monde dans le domaine de l’astronomie, physique et astrophysique et également en géophysique (sismologie) en mesure de mettre en défaut ma théorie globale, et cela quelles que soient sa nationalité, sa religion et ses références.

N. K.* Chercheur auto-didacte multidisciplinaire en astronomie, géophysique (sismologie) et physique13, rue Oued Tarfa, Draria, Alger

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