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Entretien avec l’actrice de la série Switchers, Nawel Bellili : «C’est une belle expérience !»

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Elue Miss Béjaïa en 2012, elle a fait ses premières apparitions dans des spots publicitaires, pour des opérateurs de la téléphonie mobile. 

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On la découvre cette année, pour la première fois, sur le petit écran. Nawel Bellili est dans la série algérienne Switchers, une série qui mêle science-  fiction et divertissement, réalisé par Ahmed Aksas, alias Actarus. Elle a 23 ans et est étudiante en communication. Elle  est également fondatrice d’une association engagée dans l’humanitaire. Elle a bien voulu répondre à nos questions.

La Dépêche de Kabylie : Un commentaire sur la série « Switchers » qui vous a révélée au grand public ?

Nawel Bellili : C’est une innovation dans le monde du cinéma algérien, une nouveauté  pour les jeunes. Un mélange de science-fiction et d’humour. Elle nous change des anciens feuilletons que nous avons l’habitude de voir sur les écrans de la tété nationale. Pour moi, c’est une belle expérience.

Aviez-vous déjà évolué dans le monde de la télévision ou du cinéma ?

Absolument pas. C’est totalement une nouvelle expérience pour moi.

Et mon entrée dans le domaine fut un pur fruit du hasard.

Mais ne dit-on pas le hasard fait bien les choses  ?

Racontez-nous un peu ce qui s’est passé…

A vrai dire, je postulais pour une pub et lors du casting, un contact m’a parlé du scénario de la série, ce que j’ai trouvé drôle et original. J’ai pensé que ça pourrait être  intéressant et là je me suis dit : « Pourquoi pas ! ». Lors du casting, j’ai postulé pour un autre rôle que celui de Anissa, l’actrice principale. Il se trouve que mon profil a plu au réalisateur et à l’agence et ces derniers m’ont choisi pour le rôle principal, c’était une vraie surprise.

Et si on vous proposait un autre rôle à l’écran aujourd’hui ?

Tout dépendra du scénario et du rôle qu’on me proposera. Dans Switchers, j’ai beaucoup aimé la trame. Mais toute offre sera étudiée car j’aimerais bien continuer l’aventure.

Quels sont vos projets dans la vie ?

Après un parcours de 4 années à l’université Abdrahmane MIRA de Béjaïa, je compte continuer et pousser mes études aussi loin que possible. Quant au cinéma j’espère faire partie de la deuxième saison de la série Switchers. Si toutefois j’ai une proposition intéressante pour un nouveau projet, je ne dirai pas non pour une vie artistique en parallèle.

A.Hamat

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