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Ligue 1 (11e journée) JSK 2 - CRB 2 : De nouveau le doute s’installe

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Renversant aura été ce choc qui a réuni la JSK et le CRB hier au stade du 1er Novembre, pour le compte de la 11e journée de Ligue 1 Mobilis.

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Pourtant, tout avait bien commencé pour la JS Kabylie qui faisait sa rentrée avec une nouvelle direction et un nouveau staff technique, conduit par le revenant Aït Djoudi. Autre point stimulant, l’équipe restait sur un nul ramené de Sétif o&ugrave,; pour rappel, elle est allée s’imposer devant le champion en titre, l’ESS. C’est dire que la JSK partait largement avantagée devant son public, quand bien même, en face, il y aurait ce CRB, réputé bête noire des Jaune et Vert. Yettou a d’ailleurs réussi a ouvrir la marque d’entrée de jeu (5’), quoi de mieux pour booster le collectif… Sauf que la suite de la première mi-temps ne s’averera pas de tout repos pour la bande d’Aït Djoudi qui vivra un véritable renversement de situation avec cette égalisation concédée dès la 22’, suite à une belle balle arrêtée de Bellaili, qui est allée se loger en pleine lucarne des buts d’Asselah, complètement out sur ce coup. La sentence a été pourtant exécutée d’un angle complètement fermé, même très adroitement botté, une sorte de mini-corner du côté gauche. Cette égalisation a complètement désarçonné l’équipe kabyle qui concèdera encore une fois, à la 39’, un second but du CRB. Renversante aura été cette première mi-temps donc. Et même le match tout entier, puisque de retour des vestiaires, à peine on a joué une minute que les Canaris parviennent à égaliser par l’intermédiaire de Benaldjia qui, seul face au gardien Salhi, reprend victorieusement, dans la limite des six mètres, une balle qui rebondit comme au ping-pong et qu’il mettra hors de portée du gardien belouizdadi. Avec un tel retour des vestiaires, tout le monde misait sur d’autres retournements de situation, surtout que le match est resté ouvert des deux côtés. Mais, finalement, il n’en sera rien et le score restera là avec cette parité de deux buts partout qui replonge, à nouveau, le club kabyle dans le doute.

Arezki Houhèche.

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