La relation entre l’université et l’entreprise est en principe, de fait, établie. L’entreprise ne peut évoluer que grâce à la connaissance, à la recherche et aux investigations des universités.
Cela permet à l’une comme à l’autre d’innover dans leurs productions et de les parfaire. Relevant la place prépondérante qu’occupe l’université en partenariat avec les entreprises économiques, elles se développent en fonction de ce que veut le moment. Cette relation devrait revêtir une notion plus savante, plus technique, plus scientifique, à partir du moment où l’étudiant et l’entrepreneur trouvent tous les deux sur quoi baser leurs travaux d’études et de production, chacun selon ses méthodes et son apprentissage.
Cela va permettre à l’entreprise d’être au diapason de son innovation, et à l’étudiant d’être à la mesure de ce qu’on attend de lui. Rien n’autorise, au demeurant, des improvisations sans l’université. Il va de soi que la corrélation, université-entreprise est de facto imposée, par l’interactivité qui mènera l’entreprise là où on l’attend. Il est vrai que le ministre de tutelle, le gouvernement et le rectorat doivent diriger leurs actions sur des résultats communs de réussite.
Nonobstant, la démarche de création et d’innovation doivent aller de pair jusqu’à la résultante de toutes les créations pendantes où attendues, dès lors que l’invention ne se produit que de surcroit et que cette dernière n’intervient qu’en apport de toute façon de tout le pack de fabrication. Les relations entre les universités et les entreprises devraient être plus solides, parce que l’un a besoin de l’autre, que ce soit en mise en situations professionnelles, ou en participation sérieuse à l’effort à l’ouvrage.
Il va falloir trouver le moyen de faire converger les deux. L’université est forcément l’élément le plus à même de fournir à l’entreprise le plus innovant en termes de créativité, d’innovation et de recherches. Cela va certainement encourager les entreprises à être plus performantes. L’important dans tout ça est de trouver le moyen de rendre les entreprises plus dynamiques et plus compétitives, et que cela va permettre à nos sociétés d’être encore plus concurrentielles et bien plus en rapport avec le marché.
Par S. Ait Hamouda