En effet, après le saccage du siège de la direction des œuvres universitaires Hasnaoua, mardi dernier, c’était au tour, hier, des locaux de la même institution de connaître le même sort à la résidence de Bastos, la colère des étudiants a atteint son paroxysme dans la mesure où la situation prend lentement mais sûrement la voie du pourrissement.