D’importants projets pour l’Algérie

Partager

Une campagne mondiale pour la dignité humaine a été lancée, jeudi dernier à Alger par le président de la section algérienne d’Amnesty International, le docteur Kheirddine Abbas.

La santé et la pauvreté dans les pays en voie de développement ont été les deux facteurs essentiels débattus, lors de la rencontre organisée à cette occasion.

Le docteur Abbas a annoncé, à cet effet, qu’ » un budget mondial a été alloué par les différents mouvements d’actions de plus de 150 pays pour le lancement de cette campagne.

L’Algérie comme tout autre pays en voie de développement bénéficiera d’importants projets alloués pour combattre le phénomène de la pauvreté », avant de souligner, l’importance d’agir vite et ce pour prévenir et cesser de porter atteinte aux droits humains qui amplifient le phénomène de la pauvreté et qui tuent chaque jour un enfant de moins de 5 ans dans le monde.

M. Abbas a précisé, par ailleurs, que Amnisty internationale a tracé un programme spécifique pour lutter contre la misère dans les 7 prochaines années.

Interrogé sur le taux de pauvreté en Algérie, le président de la section algérienne d’Amnesty regrette de ne pas posséder des chiffres précis concernant à notre pays.

A noter que ce mouvement mondial regroupe environ 2,2 millions de personnes et ambitionne à travers ses actions d’empêcher les graves atteintes aux droits humains, et ce en faisant, selon le président de la campagne, des recherches sur la situation des droits humains, en les défendant et en se mobilisant afin de mettre un terme aux violations de ces mêmes droits.

Parmi les grands projets à réaliser, le président de la campagne a cité l’éradication des bidonvilles et des installations informelles dans les sociétés.

Ce mouvement entretient des relations officielles avec le Conseil économique et social de l’Organisation des Nations unis pour l’éducation, la science et la culture, (UNESCO), le Conseil de l’Europe, l’Organisation des Etats américains, (OEA), l’Organisation de l’Unité africaine, (OUA), et l’Union interparlementaire, (UIP).

Lynda Louifi

Partager