La méthode est impossible tant que l’on attend

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Par S Ait Hamouda

La réunion de toutes les abstractions ne mène nulle part à considérer les bonnes et les mauvaises illusions et les belles illusions qu’on se fourvoie loin des attentes lointaines. Parce que dans les indirectes, subtiles et fonctionnalités de notre firmament bleu qui se trouve allant et venant au gré des vents qui se lèvent à des moments de trouvailles quelconques, conçues par des travers.

Cela ne peut se concevoir sans rigueur dans la proclamation de l’aube. Il y a dans les instants usurpateurs de manigances, de sensibleries, de foutaises, on se rit de tout ce qui ressemble au ciel qui se moque de nous par delà les obscurantistes et les ténébreux qui nous ressemblent. Ils nous montrent les cieux, ceux qui nous vrombissent, parce que trop désagréables et trop bruyants que nous ne pouvons les supporter.

Il ne semble pas qu’ils pourraient obtenir un instant de répit à nos imminents moments d’évictions ou de présence. Ce qui nous emmène à de sérieuses lamentations. Il va de soi que de mentales suppositions ne font que de lamentables, voire de mesquines suppositions, à l’heure des supputations au hasard invertébrées, de là, il serait déductible que l’on puisse agréer le «hirak» pour le bien et le mal. Nous ne laissons pas jouer avec nos couleurs, qu’elles soient claires ou ternes, la musique qui leur convient, et au pire, ne leur convient pas. Mais de là, il ne sort que le semblant de l’orgasme à l’instant de juger des heures de transformer les invectives en politesses.

Ce qui nous conduit, à plus tenaces et à moins fébriles tendances oublieuses de nos conditions. Sensibles ormes où nous laissons nos provisions prises dans les illusoires tentatives de surprendre le geste, la manière et la méthode de leurrer les mandibules. Ce que l’on ne comprend qu’à demi-mots, et ce que l’on saisit à pleine diction pour comprendre, une fois pour toutes, les sanctifications pourfendues des instants qui mènent au dernier souffle. L’âme ne peut soutenir, outre mesure, les semblants et les virtuels, comme elle ne peut supporter le poids des marches. Elle va outrepasser la délimitation des frontières qu’elles soient longues ou courtes.

S. A. H.

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