Mère célibataire à 14 ans

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Rarissime ! Une mineure âgée tout juste de 14 ans voit sa vie basculer dans le cauchemar et celle de ses parents se transformer en véritable enfer. L’adolescente, dont la mésaventure avec un inconnu n’a pas livré tous ses secrets mais dont on sait qu’elle a mis au monde, à l’hôpital de Béjaïa, une fillette qui a, à présent, 13 ou 14 mois, donne l’air, alors qu’elle attendait d’être auditionnée par le juge d’instruction, de se trouver dans une véritable tourmente psychologique. Le père, non moins éprouvé par l’abus sexuel dont a été victime sa vulnérable petite fille, ne se gène point d’égréner le récit des événements fâcheux qui ont cruellement mis à mal l’honneur familial. “La saga judiciaire n’a rien encore révélé de la retentissante affaire”. Le présumé père de l’enfant, se trouvant actuellement au Centre d’assistance infantile de Béjaïa, a été, à chacune de ses comparutions à la barre, innocenté par sa fille, affirmant au juge qu’il est hors de cause”. Ce papa qui réclame justice, tout autant que son épouse se heurte au silence total de l’adolescente, visiblement traumatisée par le fait de se retrouver brutalement jeune mère célibataire. La victime ne dira pas non plus un mot, sur ce qu’elle a enduré à sa mère qui s’est évertuée sans résultat à la convaincre de livrer la vérité, lui expliquant qu’il y va de son intérêt et de la réputation de la famille. Une question taraude les esprits : “Pourquoi la petite se soumet-elle de manière littérale à la loi du silence ? Un quelconque péril pèse-t-il sur sa vie pour se retrancher autant dans ce troublant silence ?Cette mystérieuse affaire qui ne laisse rien filtrer donne une ténacité que rien n’altère aux parents qui continuent, contre vents et marées, la bataille judiciaire, en se faisant assister cette fois, par 2 avocats. Selon le père, de la jeune maman célibataire, que rien ne semble pouvoir consoler, “La justice doit soumettre le suspect à des examens médicaux appropriés (ADN, etc…) et procéder à une recherche de similitude de chromosomes qui pourrait prouver ou non la paternité”. En attendant qu’une telle demande de la partie civile soit concrétisée, le supplice de la famille de la jeune enfant continue.

Z. F.

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