Le projet en est à sa dernière phase : le goudronnage. Toutefois, les circonstances qui ont entouré ces travaux et les conditions dans lesquelles ils ont été effectués ont suscité l’indignation de la population, car un scénario semblable à celui du mois octobre dernier s’est reproduit au grand étonnement des citoyens. En effet, l’entreprise STPRS Akbou, chargée du projet s’éclipse parfois et refait surface quelques fois et essentiellement en fin d’après-midi. Tout a commencé ce lundi, lorsque la chausseé a été recouverte une quantité de goudron, qui a bien évidement tout sali puisque les commerçants n’étaient pas avisés. Deux jours pleus tard, les engins ont commencé à affluer et les travaux ont repris dans l’après-midi, et le spectacle a commencé. Pourquoi ? Parce que plus tard véhicules légers et lourds sont venus se mêler aux engins de la dite société de revêtement déjà présents sur place et ce fut alors l’encombrement et la confusion, mais tout simplement la route en question aurait du être fermée préalablement à la circulation automobile, ou bien il fallait procéder par bande, pour ainsi faciliter et les travaux et la circulation. Le lendemain, vers 16h30, le revêtement du tronçon restant a été repris, mais à un moment d’une grande affluence de la population et des véhicules, chose qui a entravé le bon déroulement des travaux qui ont été en effet ralentis et effectués à la hâte car par endroits, des bosses et parfois des cuvettes sont visibles à l’œil nu, ou encore différents matériaux de revêtement tels que gravier et gravelette ont remplacé la gravelette dite sablonneuse. Enfin, ni le moment (l’après-midi) ni la période (le mois de mars) et ni des précautions (fermeture de la route pour travaux) n’ont été choisis ou prises par la dite entreprise lors de ce revêtement expédié à la va-vite qui risque de se détériorer certainement car des mares d’eau se sont constituées hier avec le retour de la pluie.
Djamel M.