Les transporteurs en colère

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Les propriétaires des TPV (Transports publics des voyageurs) qui desservent les communes de Barbacha et Kendira en partance d’Amizour, qui possèdent 18 places ne décolèrent point et ce depuis qu’une note administrative émanant des services de la commune d’Amizour, leur stipule l’interdiction de garer au même stationnement réservé pour les fourgons de transport qui possèdent 8 places en partance sur les mêmes communes suscitées. Cela les prive en quelque sorte d’accomplir leur travail convenablement étant donné que le transport est leur gagne-pain quotidien. Cela sans oublier que les voyageurs en général que ce soit des travailleurs ou des visiteurs ne connaissent pas l’autre station qui est réservée à d’autres fourgons tels que les G9 et les Hyundaï, ce qui les fait attendre aussi longtemps tant il leur est impossible de trouver un moyen de transport, alors que d’autres fourgons sont stationnés à l’autre côté de la SNTV d’Amizour en train d’attendre d’éventuels clients. Le représentant des transporteurs de la ligne Amizour/Barbacha/Kendira, en l’occurrence M. Kh. Hakim nous révèle qu’ «il a tapé à toutes les portes entre autres l’APC d’Amizour, le syndicat des transports de la wilaya et la direction des transports de cette wilaya pour essayer de trouver uns solution à ce problème mais qu’aucune suite n’a été donnée et le conflit est resté en l’état pénalisant ainsi et les transporteurs et les voyageurs», et de rétorquer que «des fois si ce n’est la majeure partie de la journée, les transporteurs de voyageurs qui possèdent des fourgons G9 et Hyundaï sont obligés de rebrousser chemin, juste après le déchargement, faute de voyageurs dans cette station alors que de l’autre côté de la SNTV, les fourgons de transport de 8 places sont presque inexistants», avant d’ajouter qu’il est fatigué de se déplacer aux services concernés «puisque aucune suite positive ne pointe à l’horizon», et d’ajouter «que la commune de Barbacha est la seule commune à laquelle on ordonne deux arrêts distincts à Amizour et que ce n’est pas normal du tout tant que les autres transporteurs de l’autre côté de la SNTV travaillent sans répit».En attendant qu’une solution soit trouvée, les concernés ne savent point à quel saint se vouer, faute de planification et d’organisation.

Medhouche Rh.

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