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Réseau routier / La réfection, faute d’entretien

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Il s’agit des routes qui traversent les deux quartiers de la CADAT A et B, qui n’ont pas connu de travaux de rétablissement depuis des lustres, quelques passages du quartier appelé communément le château d’eau, et de la grande route qui mène vers le siège de la CRMA et le lycée mixte, qui se trouvent dans un état lamentable.

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La nécessité de parfaire les routes qui traversent quelques-uns des quartiers résidentiels et cités de la ville de Bouira, n’est malheureusement toujours pas à l’ordre du jour. Les équipes des services concernés se font désirer avant d’entamer les travaux de réfection. Il est vrai que certaines routes appartenant à d’autres quartiers ont subi des travaux de remise à neuf, mais ces actions n’ont pas été généralisées, ces dernières n’ayant touché que quelques quartiers de la ville. Il est tout aussi vrai que ce sont des routes situées un peu en retrait des rues principales de la ville, et que le passager, s’il ne prend pas le temps d’y accéder à l’intérieur des quartiers, ne pourrait pas se rendre compte de l’ampleur des dommages causés aux chaussées et de la négligence accumulée. Forcément, ceux qui y habitent et empruntent ces passages quotidiennement doivent en être fatigués et blasés, à force de subir l’état dégradé des routes. A rappeler qu il y a des quartiers dont la restauration des routes a été accomplie. Il s’agit des routes qui traversent les deux quartiers de la CADAT A et B, et qui n’ont pas connu des travaux de rétablissement depuis des lustres, quelques passages du quartier appelé communément le château d’eau, et aussi la grande route qui mène vers le siège de la CRMA, et le lycée mixte, qui se trouvent dans un état lamentable. Il est tout à fait vrai aussi que l’incivisme des citoyens, insouciants à maintenir convenablement l’état des quartiers, n’a fait que rendre la situation plus désolante. Des amoncellements de déchets ménagers se font dans un climat d’indifférence générale. Les dépenses de réfection sont prévisibles à tout moment, car, faudra-il attendre leur dégradation totale pour tout refaire ? Avec tout ce que cela comporte comme coût financier exorbitant, à défaut de maintenir les routes en état neuf. Si seulement les actions de maintenance étaient habituelles, l’ampleur de la dégradation des chaussées ne serait pas aussi grande et les dépenses financières seraient par conséquent moins lourdes.

Fahem H.

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