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Kadiria : La réhabilitation des routes de montagne projetée

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L’APC de Kadiria s’apprête à lancer, dans les prochains jours, deux projets de réhabilitation de deux routes de montagne. C’est du moins ce que nous a indiqué le P/APC de Kadiria, Abdenour Khiter. Selon ce dernier, il s’agit pour la première opération de la réhabilitation de la route menant de Sidi-Meghit à Djouama dans le village de Beni-Maaned. Les travaux de réhabilitation vont concerner un tronçon de route de près 850 mètres pour un montant qui s’élève à 11 millions de dinars.

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Le projet a été inscrit dans le cadre des PCD de l’année 2019. La seconde opération concerne, la réhabilitation d’un tronçon de route reliant le CW23 au village Oued-Abed. Ce projet, a fait savoir le P/APC, va concerner un tronçon de 650 mètres. Le coût des travaux est estimé à 600 millions de centimes. Toujours selon l’édile communal, les marchés de deux projets ont d’ores et déjà été confiés aux entreprises réalisatrices. Il reste juste à délivrer les Ordres de service (ODS) pour le démarrage des travaux.

Ce qui, selon le M. Khiter, se fera sous peu. Le même responsable a précisé que les deux projets ont été inscrits dans le cadre des PCD de l’année en cours. Toujours dans le même cadre, le P/APC a noté que la commune a favorisé cette année les régions de montagne de Kadiria. Des régions qui sont, depuis plusieurs années, en proie à beaucoup de difficultés et aussi à l’isolement.

Dans ces régions, qui ont souffert des affres du terrorisme, beaucoup de manques sont enregistrés et tout reste à faire. L’état des routes, l’approvisionnement en eau potable, le raccordement aux divers réseaux (électricité, gaz, assainissement)… sont autant de problèmes qui doivent être réglés et qui demandent une prise en charge. Pour le P/APC, le désenclavement de ces régions, qui commencent à être repeuplées, après un exode massif vers la ville durant la décennie noire, passe par la prise en charge des préoccupations de populations rurales et aussi l’amélioration de leur cadre de vie. Selon le même responsable, la commune s’attelle à régler ces problèmes progressivement.

D. M.

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