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M'Chedallah : Le provisoire qui dure pour la SUC et la SLEP

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Deux parmi les institutions névralgiques les plus sollicitées par les citoyens et les organismes de l’Etat, à savoir la Subdivision de l’urbanisme et de la construction (SUC) et la Subdivision du logement et des équipements publics (SLEP) sont toujours recasées provisoirement dans des appartements de type F2 dans un bloc résidentiel du quartier 42 logements de Bouaklane, à M’Chedallah.

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C’est le provisoire qui dure depuis cinq (5) avec des répercutions négatives sur leur fonctionnement à cause de l’exiguïté, source de désagréments aux citoyens et autres administrations, qui les sollicitent. En plus, ces appartements sont situés dans un coin isolé, respectivement, aux 4e et 5e étages. Aussi, un dérangement est causé aux familles occupant le même bloc par les incessants va-et-vient à longueurs de journée durant les jours ouvrables. Ce cas a fini par faire réagir la tutelle, laquelle a décidé de leur construire deux sièges dignes d’un service public.

Le choix du terrain a été effectué au début de l’année en cours, lequel a été proposé par l’APC de M’Chedalah. Il est mitoyen au nouveau jardin public situé entre le CEM Moussi Ahcene et le lycée Ben Badis, au niveau de l’ancienne ville. Cette assiette de terrain a été retenue pour ce projet et délimitée. Mais la moitié de l’année s’est écoulée sans que rien de plus ne soit effectué. De plus, même si les travaux démarrent maintenant, ces sièges ne seront pas livrés et occupés avant une année, au minimum.

La Subdivision de l’agriculture de M’Chedallah connaît le même sort. Elle a été parquée depuis sa création, il y a plus de 20 ans, dans un cabinet vétérinaire qui tombe en ruine et qui est exigu, au niveau de la nouvelle ville.

Le siège de cette névralgique institution étatique, dans une région à vocation agro-pastorale, fait piètre figure à côté des sièges mitoyens du Commerce et de l’ANEM, lesquels ont été transférés dans de véritables buildings flambants neufs. Malgré le manque de foncier dans cette municipalité, rien ne justifie le retard mis dans le démarrage du projet sinon l’endémique bureaucratie à l’origine de retards flagrants dans tous les secteurs.

O. S.

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