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Aït Yahia Moussa Récurrentes coupures d'électricité : L’APC s’implique

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L’APC d’Aït Yahia Moussa reste mobilisée afin de faire aboutir sa demande concernant les interminables coupures d’électricité dans cette région. « Nous avons reçu, avant-hier, cinq équipes de la Sonelgaz qui se sont activés à réparer les imperfections ici et là. Et nous venons d’envoyer une correspondance au directeur de la Sonelgaz afin de déployer davantage d’efforts et prendre des décisions à même de trouver des solutions définitives à ce problème qui pénalise au plus haut point nos concitoyens. C’est l’une de nos préoccupations majeures », nous a annoncé M. Saïd Bougheda, le maire, au sujet de ces coupures électriques récurrentes. Dans ce même contexte, notre interlocuteur nous a appris que plus de 2000 foyers ne sont pas encore raccordés au réseau. « Nous lançons un appel au directeur de la DMI afin d’inscrire un projet spécial pour l’extension du réseau à tous les villages de la commune.Ces foyers sont tous de nouvelles constructions réalisées dans le cadre de l’habitat rural. Les citoyens d’Ait Yahia Moussa sont pauvres et ils ne peuvent pas prendre en charge eux mêmes ces extensions », dira le P/APC qui n’a pas omis de souligner que l’autre préoccupation de l’assemblée qu’il préside est le gaz naturel. « Pour le moment, zéro foyer alimenté en gaz naturel », a-t-il souligné. Et d’ajouter avec une pointe d’optimiste:  » Nous avons une inscription de plus de 200 kilomètres pour toute la commune. Nous attendons que les avis d’appel d’offres soient lancés, car le dossier est finalisé. Nous souhaitons voir, d’ici quelques mois, des entreprises lancer les travaux. Ce sera une lueur d’espoir aux yeux de nos concitoyens « . Les citoyens de la commune, eux, se plaignent même du manque de bonbonnes de gaz butane. « Avant, il y avait un dépôt au chef-lieu. Aujourd’hui, ce sont les livreurs qui s’occupent eux même de la vente.Et c’est selon leur humeur, parfois ils viennent, d’autres fois ils livrent ailleurs. C’est un grand problème que vivent les citoyens de notre commune », nous a dit un habitant d’Imzoughène.

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Amar Ouramdane 

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