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BOGHNI - Réfection des écoles : Les chantiers entamés !

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Sept écoles sur les treize que compte la municipalité de Boghni sont concernées par les opérations de réhabilitation engagées par l’APC. Dans le cadre des subventions grevées d’affectation allouées par la wilaya pour renforcer le budget de fonctionnement des communes, notamment les chapitres liées à la prise en charge de la scolarité des élèves du primaire, des travaux ont été lancés par l’APC de Boghni pour améliorer l’état des établissements scolaires.

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En effet, pour un montant dépassant les 10 millions de dinars, plus de 7 sur les 13 écoles primaires que compte la commune, notamment celles relevant des villages d’Ait Mendes et d’Ait Kouffi, ainsi que deux écoles du chef-lieu sont concernées par les grosses et petites réparations pour faire face aux manques signalés par les chefs d’établissements et les associations des parents d’élèves. Les devis estimatifs établis par les services techniques renseignent beaucoup plus sur la nature des travaux à effectuer dans les écoles, entres autres la réparation de l’étanchéité, la réfection des plafonds touchés par des dégradations auxquelles il faut ajouter le remplacement des serrures et des vitres cassées dans les classes.

Des travaux de ravalement des façades des classes, la pose de nouvelles couches de peinture et de réfection des blocs sanitaires sont prévus vu l’état de vétusté signalé dans plusieurs compartiments des écoles. En dépit de l’importance de ces projets, il faut signaler que leur lancement s’est fait avec beaucoup de retard en raison du refus du contrôleur financier d’apposer son visa sur les contrats liant l’APC aux entreprises de réalisation, du fait que le service contractant n’ait pas présenté un certificat d’inscription au tableau général des domaines des écoles primaires.

Pour combler ce retard, il est certain que les vacances scolaires seront une occasion pour terminer certains travaux non entamés pour ne pas gêner la scolarité des enfants. En outre, le problème de la dégradation du mobilier scolaire nécessitera un budget assez conséquent qui doit être mobilisé pour répondre aux besoins exprimés par les chefs d’établissements. Enfin, il est utile de rappeler qu’au chef-lieu communal, les enseignants continuent de faire face à la surcharge des classes en raison du retard enregistré pour réaliser deux groupes scolaires à la périphérie du centre urbain.

M. Haddadi.

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