L’enseignement inclusif de l’anglais en débat

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Une vingtaine de communications incluses dans les cinq ateliers prévus pour l’occasion et deux conférences plénières ont été, hier, au programme de la journée d’étude internationale intitulée «L’université algérienne et les pratiques inclusives : De la réalité aux perspectives», organisée au campus d’Aboudaou de l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa.

«Enjeux formels, non formels et informels autour de l’éducation inclusive» a été le thème de la première conférence animée, en plénière, par le professeur Serge Ramel de la haute école pédagogique de Vaud, Lausanne, et des Laboratoires LISIS, en Suisse.

La deuxième a pour thème «Construire une école inclusive, défis et leviers». Elle a été animée par le professeur Serge Thomazet, de l’université Clermont-Auvergne et des laboratoires ACTé, en France.

Concernant les ateliers qui ont regroupé la vingtaine d’autres communicants, elles se sont penchées sur la pratique inclusive, l’éducation inclusive, aménagement et accessibilité, approches inclusives et, enfin, l’apprentissage inclusif.

Cette rencontre, organisée par le département d’anglais de la faculté des lettres et des langues de l’université de Béjaïa, a été une occasion d’échanges, d’analyses et de débats entre les enseignants locaux et les experts spécialistes en la matière.

Cela leur a, à coup sûr, permis d’identifier les difficultés et les contraintes auxquelles sont confrontés les étudiants aux besoins spécifiques et entrevoir les meilleures possibilités de mise en œuvre de méthodes de sensibilisation, d’accompagnement, d’enseignement et d’évaluations inclusives dans l’université algérienne.

A. G.

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