Les opérations inscrites dans les PCD sont en cours alors que d’autres consultations sont lancées. Il s’agit de trois opérations à réaliser dans le cadre des reliquats. « Certaines sont déjà achevées. Pour d’autres, on a va les lancer incessamment. Les procédures sont en cours. Il s’agit par exemple de deux opérations en béton bitumineux du côté de Hellil et d’Imazgharen. L’argent de la cagnotte des PCD est consacré essentiellement aux travaux publics », dira M. Mohamed Moussaoui en sa qualité de maire.
Concernant, pour les consultations lancées, il s’agit de la réfection et du prolongement d’un réseau d’eaux pluviales au chef-lieu communal sur une distance de 2 800 mètres linéaires, de l’ouverture d’une piste de trois mille cinq cents mètres linéaires allant d’Ath Boumaâza jusqu’à Thala El Djir et l’acquisition d’un véhicule pour le bureau de prévention et d’hygiène communal. Sinon, dira encore le P/APC, toutes les autres opérations seront bientôt clôturées. Il est à signaler que les membres de l’exécutif communal se réunissent, d’ores et déjà, avec les présidents des comités de villages en vue de hiérarchiser et de prioriser les futures opérations à inscrire dans le cadre des PCD de l’année prochaine. « C’est notre méthode de travail.
On se concerte avec les représentants des villages pour choisir les opérations qu’ils proposeront selon leur priorité », expliquera-t-il. Par ailleurs, il est à noter que les opérations d’aménagement urbaines se poursuivent. Après avoir achevé le dallage et la pose des bordures le long de la route principale qui va du CW 04 jusqu’au CEM Arezki Sellam, une opération similaire a été lancée récemment à partir de la polyclinique jusqu’au siège APC en passant par les quartiers du contrebas de l’APC. » C’est une opération ancienne. Mais, nous avons pu la relancer et la confier à une entreprise.
Ce sont des trottoirs et leur dallage », précisera le maire. Actuellement, le maire et son équipe sont sur d’autres projets tels le lancement des 100 logements sociaux retardés à cause d’un litige autour du site qui devrait les accueillir. « Nous avons le jugement de la justice. Désormais, le terrain est communal. Les études ont été déjà faites au temps de l’ancien exécutif. Nous demanderons à l’OPGI de lancer les procédures nécessaires de ce projet tant attendu par des centaines de citoyens depuis des années », confiera-t-il encore.
En tout cas, dans ce chef-lieu communal, il faut dire tout de même qu’il ne reste pas beaucoup à faire en ce qui concerne l’aménagement à part le problème du tronçon du CW40 vers Bounouh qui est dégradé dans plusieurs endroits à cause des camions de gros tonnage qui l’empruntent d’un côté, et aussi à cause du caractère mouvant de son sol, d’un autre côté.
Amar Ouramdane

