Tizi-Ouzou
Un individu arrêté pour atteinte à la pudeur
Les forces de police de la brigade criminelle de la police judiciaire de la wilaya a réussi à mettre hors d’état de nuire un individu accusé d’attentat à la pudeur, c’est ce que rapporte un communiqué de presse émanant de la cellule de communication de la sûreté de wilaya, rendu publique hier. Il s’agit de Dj. R., âgé de 41 ans et demeurant à Tizi Ouzou, précise le même communiqué. Faisant suite à des plaintes déposées par des citoyennes victimes de ses agissements, l’auteur a pu être identifié et interpellé. Celui-ci promettait, selon le document de la cellule de communication de la sûreté de wilaya, le mariage à ses victimes pour, ainsi, les mettre en confiance. Une fois cette étape atteinte, » il les entraînait à la forêt limitrophe au Sanatorium- Redjaouna où il les agressait sexuellement et les délestait de leur objets de valeur « , note le document. Le mis en cause a été présenté au parquet de Tizi Ouzou, dimanche dernier, puis a été placé en détention préventive. Par ailleurs, les forces de police ont procédé à l’arrestation de deux individus suite à une plainte d’un propriétaire d’une agence de location de voitures. Les accusés, M. A. et I. F., âgés respectivement de 44 et 30 ans, auraient loué un véhicule qu’ils n’ont pas restitué signale la document qui ajoute que le véhicule à même été gagé contre de l’argent dans une autre wilaya. Présenté au parquet de Tizi-Ouzou, lundi dernier, le premier accusé a été placé en détention préventive, alors que le second sera cité à comparaître.
T. Ch.
Bouira
Un gardien d’école en prison
Les services de la police judiciaire de Bouira, ont présenté devant le procureur de la République le nommé F. O., âgé de 39 ans, gardien dans un établissement scolaire, et repris de justice de surcroît, accusé du délit d’atteinte à la pudeur suivi de menace sur une fille mineure ne dépassant pas l’âge de 6 ans. L’affaire remonte au 30 novembre dernier lorsqu’une des enseignantes a informé la maman que sa fille est sortie de l’école vers les coups de 16h, et l’attendait en compagnie du gardien. Ce dernier a profité d’un laps de temps durant laquelle il était seul avec l’écolière, il l’entraîna dans une classe vide et abusa d’elle. En voyant la maman de la fille s’approchait de l’école, il prit peur et menaça la victime à l’aide d’un poignard, en l’avertissant de représailles si jamais elle se confiera à sa mère. En fin de la même après-midi, lorsque la mère récupéra sa fille, elle remarquera un changement subite dans son comportement habituel, elle décida de savoir qu’elle est la raison de cet état anormal qui a prit sa fille, mêlé de peur et d’anxiété et qui ne prêtait pas au réconfort. Après moult explications avec sa fille, la maman apprendra que sa fille aura été victime d’agissements immoraux de la part de l’indélicat gardien d’école. Par la suite, elle décida de porter plainte auprès des services de la troisième sûreté urbaine qui ont de sitôt diligenté une enquête. Après un travail d’investigation effectué sur l’affaire, les policiers sont parvenus à arrêter le gardien d’école pour le présenter devant le parquet qui a immédiatement ordonné son incarcération en attendant son jugement.
Fahem H
Pour destruction des biens d’autrui
L’auteur sous mandat de dépôt
Accusé des délits de destruction de biens d’autrui et injures, un homme d’une trentaine d’années portant les initiales S. S., a été incarcéré avant-hier, sur ordre du procureur de la République du tribunal de Bouira. L’affaire remonte au 26 novembre dernier, quand aux environs d’une heure et demi du matin, une altercation s’est produite entre les nommées R. M., L. M. et S. S. Ce dernier était en état d’ivresse très avancé il est monté dans sa voiture de marque Renault Mégane, en démarrant en trombe, et à une vitesse inouïe. Il fonça ainsi sur les véhicules appartenant à ses deux adversaires qui étaient en poigne avec lui auparavant. Il leur causa des dégâts considérables et s’enfuit juste après vers une direction inconnue. L’agresseur sera arrêté juste après que les deux victimes ont déposé une plainte auprès des services de police.
Fahem H.