La coopération internationale au menu

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La cellule de communication du commandement de la Gendarmerie nationale a lancé le numéro 18 de la revue de ce corps, sous le thème « Coopération internationale, une nouvelle étape dans l’échange d’expériences en matière de lutte contre la criminalité ».Ce numéro est très riche, il a abordé plusieurs sujets, où l’on retrouve la coopération internationale en tête du sommaire suivie de sciences, délinquance juvénile, sociologie, littérature, etc.En ce qui concerne l’éditorial sous le titre « La vigilance de tous les instants », il aborde un programme de modernisation qui a été mis en place, devant permettre d’être à la pointe de la lutte contre le mal sous toutes ses formes. Dans ce numéro, la revue présente l’importance de la première visite de travail de la délégation de l’office fédéral de la police criminelle allemande conduite par son Président et ce, sur invitation du général-major Bousteila Ahmed. Au cours de cette visite des discussions, précise la revue, ont porté sur le renforcement de la professionnalisation de la Gendarmerie nationale, la modernisation de ses méthodes en matière de police judiciaire et de lutte contre le crime. Il a été également abordé en particulier, le volet de la cybercriminalité, le trafic illicite des drogues et celui des véhicules.Un autre sujet traité par ce numéro concerne la délinquance juvénile où une étude a été entamée qui précise que « la prévention consiste en un ensemble de mesures, d’actions mise en œuvre pour éviter l’apparition d’un certain nombre de déviances, de risques dans des domaines tels que la sécurité, la route, l’environnement. La prévention repose sur l’idée d’intervenir en amont, avant la survenue des crises, des conflits. Elle revêt une dimension essentiellement collective, c’est-à-dire qu’elle s’adresse à un groupe donné ». »Les fréquentes descentes de la Gendarmerie nationale à travers les différentes wilayas du pays ont été ordonnées en vue de scruter les poches de la délinquance, les éradiquer et sécuriser les citoyens dans leur vie quotidienne. Ces opération ne sont pas ponctuelles et encore moins ne relèvent pas d’une surenchère dans la communication ou d’un narcissisme maladif » indiquera le chargé de communication de la Gendarmerie nationale dans son éditorial. En somme, c’est là un numéro de plus pour confirmer, si besoin est, la valeur d’une revue de très haute facture, confectionnée tant sur le fond que sur la forme selon des normes professionnelles qui font honneur à la Gendarmerie nationale et à tous les lecteurs férus de lecture de qualité, à la fois élevée et abordable.

Nawel B.N.

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