Les salafistes et notre école doctrinale

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Par S Ait Hamouda

Les lamentations du «hirak» se font de plus en plus insistantes, de plus en plus lourdes, de plus en plus pénibles parce que le répondant qui devrait suivre est absent. Et son absence du fait de son éclipse se fait, dans la norme admise, de la libération des détenus pour avoir manifesté leur colère et leurs souhaits d’une Algérie belle et républicaine. Cela ne nous empêche pas de réclamer notre quote-part dans la moindre parcelle de notre droit. Il va de soi que les imams qui se plaignent de ce que les salafistes leur font subir, par leurs démarches et leurs conduites extranationales et leurs notions délétères qui leur sont admises et sont admises, quoi qu’il advienne envers et contre tout.

La norme fait qu’il intervienne selon les règles normatives du religieux et de leur école wahabite ou salafiste, qu’ils subjuguent les croyants comme les athées raisonnent tous en même temps et au-delà par saison relativement pleine jusqu’au semblant de foi qui les démarquent en même temps qu’il leur semble loin de toute menace. C’est ce qui semble fournir l’argument balaise au débat, ténu, qui le proclame. Loin de toute considération, ces options dogmatiques peuvent se prendre pour des notions de débutants ou d’école, incompréhensibles.

Dans la pire comme dans la meilleure des situations, il advient des cas où le parfait réside dans le plus ingrat des travaux d’Hercule ou d’autres demi-dieux, nonobstant les salafistes qui prennent les musulmans d’Algérie pour des benêts et qu’ils soumettent au dernier carré de la terre.

Cependant, il arrive qu’ils subissent leur diktat sans bouger leur petit doigt, parce que la leçon est donnée par celui qui définit la norme et la notion qui réclame le juste et l’injuste. C’est ce qui explique l’existence et la menace qui pèse sur les vivants jusqu’à leur mort. Justement, il y a dans le trépas des trésors qui nous interpellent par leur richesse et qui nous convient à l’hallali des «ahals» qu’ils soient traditionnels ou ataviques. Nous relatons des histoires que nous évoquons par-dessus tout pour nous convertir en «malékites» convaincus.

S. A. H.

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