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ÉDUCATION - Concours de promotion des professeurs : Une seconde session pour pourvoir 9 000 postes

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Le secrétaire général du ministère de l’Éducation nationale, Nedjadi Messeguem, a fait état de l’ouverture de 9 000 postes dans le cadre de la deuxième session du concours de promotion aux grades de professeurs principaux et formateurs, qui aura lieu le 16 mars prochain. «Il y a 9 000 postes qui n’ont pas été pourvus pendant la première session du concours (…).

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La ministre a demandé une autorisation pour les mettre en compétition le 16 mars», a fait savoir M. Messeguem lors de son intervention, hier, sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale. Et d’ajouter : «Il y avait 45 000 postes, dont 36 000 sont pourvus. Il reste 9 000 que nous remettrons sur le tapis, le 16 mars».

M. Messeguem a, par ailleurs, assuré que «l’Office national des examens et concours (ONEC) a les compétences professionnelles avérées qui lui permettent de gérer correctement les examens et les concours professionnels». Il a précisé, dans ce sillage, que les sujets que l’Onec a mis à la disposition des candidats concernent «la didactique de la discipline», ajoutant que les lauréats sont pris en charge dans un plan national de formation sur des missions spécifiques.

«A chaque fin de formation, nous évaluons la qualité de la formation et nous mettons un dispositif sur le terrain pour voir son impact. Actuellement, il y a un plan stratégique national où tout fonctionnaire bénéficie de la formation», a-t-il dit. Le SG du ministère a également fait état de la mise en place, en faveur des enseignants, d’un dispositif permanant de suivi de la part des inspecteurs, «formés en permanence».

«Jusqu’à présent, nous avons formé plus de 2 000 inspecteurs disposant de compétences avérées en matière d’organisation des cycles scolaires, de médiation et de pilotage des établissements d’enseignement», a-t-il souligné. S’agissant, par ailleurs, des examens de fin d’année, M. Messeguem a affirmé que «tout est prêt et des commissions sont en train d’élaborer les sujets».

Interrogé sur la déperdition scolaire, le même responsable a indiqué que l’ensemble des élèves en difficulté seront désormais assistés par le biais d’examens de rattrapage : «Nous allons développer un programme de formation sur la guidance scolaire pour réduite de façon drastique ce phénomène», a-t-il fait savoir.

Samira Saïdj

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