En effet, le coach en chef de la JSM Béjaïa, El Hadi Khezzar, vient d’avoir l’accord final du préparateur physique, Salim Zaabar, pour travailler avec lui lors de la saison prochaine en compagnie de Toufik Kabri, en sa qualité d’adjoint, et de l’entraîneur des gardiens de buts, Hassan Sid Rouhou.
Ce dernier, que la direction de Tiab a finalement décidé de garder pour la saison prochaine, avait, faut-il le souligner, assuré du bon boulot avec les deux keepers, Yacine Djabaret et Sofiane Kacem qui, à leur tour, avait justement sollicité les dirigeants pour le maintien de l’ancien portier des coquelicots de la JS Bordj Ménaïel. Par ailleurs, le technicien en chef béjaoui, qui s’est réuni cette semaine avec tous ses collaborateurs, a évoqué avec eux le programme de préparation de la nouvelle saison footballistique qui débutera le vendredi 02 septembre prochain ainsi que les deux stages qu’effectuera la JSMB à l’école olympique d’El Vaz (Sétif), du 24 au 31 juillet et celui d’Aïn Draham (Tunisie) qui aura lieu du 06 au 20 août 2016. Le staff technique escompte dénicher pas moins de six à sept Springs Partner pour son équipe durant cette période de préparation au cours de laquelle devrait se dessiner la JSMB version Khezzar qui défendrait les couleurs du club lors de la saison 2016/2017.
Tiab veut Zerara
Après avoir reçu le week-end dernier les deux joueurs de l’Entente de Sétif, Megatli et Rait, avec lesquels il est arrivé à un accord final, le boss Tiab, qui semble plus décidé que jamais à monter une équipe solide et conquérante pour la saison prochaine, voudrait faire venir le maximum de joueurs expérimentés afin de permettre à la JSMB de faire face aux équipes qui seront en lice pour le podium. C’est ainsi que nous apprenons d’une source fiable que le premier homme fort des Vert et Rouge aurait chargé un émissaire pour entrer directement en contact avec le milieu de l’ESS, Toufik Zerara, pour lui soumettre l’idée de revêtir à nouveau le maillot du club qu’il avait porté durant les saisons 2012/2013 et 2013/2014 avant d’atterrir chez l’Aigle noir.
B. Ouari