L’équipe nationale cadette de volley-ball garçons vient de clôturer avec brio le stage italien, qui s’inscrit dans la perspective de sa préparation pour le Mondial de cette catégorie prévu pour le mois d’août prochain en Algérie (Blida). C’est hier donc le 29 mars, que les protégés du duo Hadj Belkacem, et Allab et les douze joueurs ont terminé ce stage. Que dire de cet ultime stage qui est le dernier à l’étranger après celui du Portugal sinon que l’équipe constitué d’éléments du cru évoluant dans leur totalité dans les différentes équipes du championnat national, avec une particularité pour l’équipe bgayetie (NCB) avec quatre athlètes, et sept autres équipes à savoir le MCA, l’ESS, l’ITRS, le CACC, le NIAD, MCBL et LWO Rouiba qui disposent d’un élément chacune. Les douze sélectionnés qui sont sans aucun doute les meilleurs du moment, ont beaucoup gagné en maturité après s’être frotté durant ces stages à de grandes équipes. Ils ont beaucoup travaillé et soigné notamment leurs aspects techniques. Ces athlètes disposent certes d’un gabarit satisfaisant, mais doivent encore et davantage soigné leurs techniques de jeux et faire les correctifs nécessaires, qui leur permettent de relever leurs niveaux pour évoluer aisément dans un gotha mondial, dont on ne se fait plus de doute quant à l’écart qui le sépare du nôtre, sur tous les plans. L’échéance est certes proche pour le rendez-vous blidéen d’août prochain, et le staff technique semble conscient des enjeux pour faire rectifier les imperfections, et bâtir d’ici-là, l’équipe performante attendue. Côtés préparatifs, ce Mondial semble quelque peu buter à quelques problèmes qui ne permettent pas à la fédération récemment installée d’aller vite en besogne, et accélérer le processus de préparation.Quoi qu’il en soit, ce Mondial qui est une véritable aubaine pour notre pays, représentent l’une, sinon la plus grande priorité de cette instance désignée à l’organiser, et le réussir, notamment qu’elle vient de bénéficier de toutes les aides nécessaires des autorités et des instances internationales pour cela. Certes beaucoup reste à faire et régler bien d’autres impératifs tous aussi urgents les uns que les autres pour ficeler ce dossier et se déclarer fin prêt pour cette échéance dont il n’est plus indispensable de rappeler l’urgence.
M. O.