La situation se complique

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Si pour la discipline du karaté “la fixation au sol” du tatami est désormais acquise, pour le body building, en plus d’occuper toute l’aile de la voûte, ses adeptes ont “creusé un trou” sur le terrain même et “cimenter” une poutre pour délimiter leurs espaces.Chacune de ces deux disciplines ayant selon ce président agit ainsi sur accord et ont “délimité” des espaces, mais qui de cette manière ne quitteront pas, il n’en reste au volley-ball presque rien étant donné que deux parties du terrain sont occupées de part et d’autre. Avec leurs poteaux et leurs autres équipements qui sont déjà hors de la salle, il ne reste donc aux pratiquants du volley-ball de Toudja qu’à survivre donc et retrouver leur statut de SDF, qu’ils croyaient avoir quitté à jamais. Le président de la CRRT qui sort de ses gongs et après avoir consenti de partager cette salle, à condition qu’il dispose de tout l’espace, notamment lors des matchs voit ainsi toutes ses projections s’envoler en éclats. Il dira à ce propos : “Nous n’allons pas nous arrêter à ce niveau”.L’accession est un enjeu jouable et possible pour les filles de Toudja qui s’entraînent et jouent là où on voudrait bien les accepter. Mais, conclura-t-il, “ça n’est pas de cette manière qu’il faut appréhender la prochaine saison en division Une”.Certes, l’enjeu de la saison prochaine exige un plus grand travail, une stabilité à travers une salle pour y recevoir. L’exploitation de cette voûte telle qu’elle a été définie jusqu’à maintenant ne répond pas au carnet de bord du club, tout doit être redéfini pour une bonne et juste exploitation, on ne partage pas ainsi des espaces sportifs comme on le fait pour une surface terrienne.

M. O.

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