Aït Chaouch Laïd sur les traces de son oncle

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la Dépêche de Kabylie : Présentez-vous ?ll Aït Chaouch Laïd : Je suis Kabyle, j’ai à peine 18 ans. Je vis avec mes parents en France dans les Ardennes et plus précisément à Nuzonville. Je n’ai mis à aucun moment en cause mes origines et oublié mes racines. Malheureusement, je ne maîtrise pas bien ma langue maternelle, je m’excuse. Je suis très fier d’être parmi les miens.

Votre palmarès ?ll Je sus champion de France en UNSS en 1997, champion de France de boxe éducative en 1998, champion de France cadets en 2000 et 2001 et j’ai conquis le dernier titre de champion de France en catégorie juniors en avril 2005.

Votre souhait ?ll Travailler dignement afin que je puisse exaucer les voeux de mes parents et grands-parents ainsi que de ma famille quant à un titre de champion du monde ou un titre olympique que je décernerais à ma communauté.Avec le soutien et l’apport de mes oncles Madjd et Hamid, j’espère y arriver.

Lors de cette réception on vous a couronné à cet instant. Qu’avez-vous ressenti ?ll Pour être sincère, je ne pouvais valoriser cette distinction symbolique mais très chere. J’étais très content et ému par la suite, être entouré par les siens. Il n’y a pas plus meilleurs.

Un dernier mot?ll Je vous remercie de m’avoir accordé cet entretien qui fera plaisir à ma famille et à mes amis auxquels je communiquerais le site Internet de votre journal sans oublier Hocine. Je suis fier d’avoir assisté au match de la JSK avec mes amis de Chabet.

A. Kichni

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