«J’espère que c’est la victoire du déclic»

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Franck Dumas était aux anges après la belle et précieuse victoire de son équipe face à l’ESS avant-hier soir. Lors du point de presse qu’il a animé à l’issue de la rencontre, le coach kabyle a souligné l’importance de ce bon résultat qui met fin à une série de faux pas. Il est revenu sur le rendement du groupe et sur l’absence du milieu Benkhelifa et l’affaire Benyoucef. «La victoire d’aujourd’hui est très importante.

Il fallait absolument gagner ce match après les contreperformances successives des derniers matchs. Et ce fut difficile. Nous n’étions pas parfaits et nous ne le serons jamais, mais le plus important est d’avoir gagné», dira-t-il. Dumas ajoutera : «J’ai parlé aux joueurs et leur ai demandé de jouer sans peur et de se laisser porter par la ferveur des milliers de supporters qui étaient dans les gradins, ce qu’ils ont fait».

Ne cachant pas sa satisfaction du score du match, le coach kabyle dira : «On a cravaché et on ne voulait pas que nos efforts soient vains. On continuera à défendra à fond nos chances lors des prochains rendez-vous et j’espère que cette victoire sera un déclic pour la suite du championnat». Interrogé quant au rendement de l’attaquant Fiston, qui a inscrit le but de la victoire, Dumas dira : «Fiston est un joueur à vocation offensive qui joue à gauche, à droit et comme avant-centre. Je l’ai fait entrer justement après avoir constaté l’inefficacité de l’attaque en première période.

Il a accompli comme il se doit sa tâche en marquant le but de la victoire». Dumas a ensuite commenté l’absence de Benkhlifa, sanctionné : «Je regrette l’absence de Benkhelifa qui a un rôle important dans l’équipe. Son absence a d’ailleurs été ressentie sur le terrain». Interpellé sur le cas du milieu Benyoucef, le coach kabyle s’est contenté de dire : «Le cas Benyoucef ? Posez la question à la direction», avant d’ajouter : «Je pense que le joueur a mérité sa sanction après ce qu’il a fait». L’entraineur de la JSK terminera la conférence de presse en affirmant : «C’est difficile de gérer une trêve de deux semaines. Cependant, on n’a pas le choix, on doit gérer. On reprendra les entraînements mardi et on tentera de gérer les choses intelligemment».

M. L.

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