Le nouveau président de la section futsal du FC Béjaïa, Sebahi Nassim, dira qu’il fera tout pour être à la hauteur de la confiance placée en lui par la direction du FCB.
La Dépêche de Kabylie : Qui est Nassim Sebahi ?
Nassim Sebahi : Que voulez-vous que je vous dise, sinon que c’est quelqu’un qui aime le football en général. J’ai passé deux ans au sein de l’ES Béjaïa (équipe de futsal) en tant que joueur. Je peux avancer que j’ai une expérience avérée dans le foot à cinq.
Jeudi passé, vous avez été désigné comme président de la section futsal du FC Béjaïa…
Effectivement, j’ai été désigné comme président de la section «Futsal» par les membres élus du FC Béjaïa. C’est une lourde responsabilité dont on me charge là et je suis touché par cette considération à mon égard. Je ne vous cache pas que cela me fait vraiment plaisir. Me faire confiance de la sorte, est un honneur pour moi et je ferai de mon mieux, autrement dit tout ce qui est dans mes possibilités pour donner satisfaction aux dirigeants qui m’ont désigné en tant que président de la section de Futsal.
Peut-on savoir quels sont les objectifs du club (Section futsal) pour la prochaine saison ?
Et bien pour la prochaine saison, on visera de terminer le championnat au milieu du tableau. Tout comme on visera d’aller loin en coupe d’Algérie. Ceci pour le moyen terme, mais pour le long terme, nous ferons tout pour créer un groupe homogène qui pourra, le cas échéant, jouer les premiers rôles à l’avenir et pourquoi pas terminer un jour champion.
Que pensez-vous du niveau dans cette discipline ?
Tout ce que je peux dire, c’est qu’il y a un niveau vraiment appréciable. Je dirais que certaines équipes sont d’un grand niveau. Certaines sont plutôt professionnelles et avancent à grands pas. Pourvu que ça dure pour elles.
Que répondriez-vous à ceux qui prétendent que le futsal n’a pas besoin de gros moyens pour réussir ?
Sans détours, je ne suis pas de leur avis. Dans chaque club sportif, les moyens humains et financiers peuvent nous aider à aller plus loin et plus vite. Je dirais même que ça reste une nécessité pour réussir. On a vu des clubs s’arrêter en si bon chemin, à cause justement du manque de ces moyens, qui restent indubitablement le talon d’Achille de beaucoup de clubs.
Entretien réalisé par Rahib Medhouche