l “Outre le savoir qu’elle inculque à l’étudiant, l’université devra mettre le cap sur la recherche scientifique”. C’est ainsi que se voulait la rentrée 2005-2006 où 2 900 étudiants, dont 900 nouveaux inscrits, ont rejoint les amphis, encadrés par 35 enseignants dans différentes spécialités (électronique, élecromécanique, gestion…).Des enseignants qui croient dur comme fer que l’avenir des nations ne peut se bâtir que sur la science et la recherche scientifique, à l’image, indique-t-on, de Microsoft qui pèse plusieurs dizaines de milliards de dollars grâce aux budgets colossaux injectés dans le domaine.Contrairement, poursuit-on, aux pays arabes qui, eux, ne consacrent que 0,6 % de leur PIB à la recherche scientifique… Et quelle recherche ?
M. Allouache