l Presque un mois après la rentrée scolaire, le livre de l’élève fait toujours parler de lui au CEM Taourirt-Ighil. Si dans certaines disciplines, telle le français (1re année moyenne), le manuel scolaire est inexistant, dans d’autres les quotas disponibles ne satisfont pas entièrement la demande. Où se trouve la faille, dans cette, distribution, pour qu’un mois après la rentrée scolaire le livre se fait toujours désirer ? Et pourtant, le ministre de l’Education, imself, a bien annoncé que pour cette année le problème du manuel scolaire ne se posera pas. C’est dire qu’entre les vœux des uns et la réalité des autres, il y a un fossé d’incompréhension. Bien sûr, dans le cas présent, ce sont les élèves qui en pâtissent, car, soit leur enseignante n’entame pas les programmes dans les temps, soit ils le font avec tous les inconvénients Sans cet outil indispensable, qu’est le livre scolaire, l’enseignant se sent toujours handicapé. Désagréments, retards, fatigue… telles sont les conséquences négatives du manque du manuel scolaire.
Boualem B.