«Hannachi a décidé de rester, on n’y peut rien, la loi est avec lui»

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Contacté de nouveau hier pour nous informer des suites de la réunion que la commission devait tenir hier après-midi, le président de la commission de réflexion, Mourad Yousfi nous a indiqué que ladite réunion a été reportée pour aujourd’hui, suite au contact, nous confie-t-il , qu’il a eu avec la direction de la JSK. «C’est vrai qu’on devait se réunir hier pour rendre public un communiqué mais comme il a y a eu du nouveau avec ce contact que j’ai eu avec la direction de la JSK, nous avons préféré surseoir et reporter la réunion pour ce mercredi après- midi. Je dois soumettre aux autres membres de la commission le contenu de ma discussion avec la direction du club et c’est à partir de là que des suites seront réservées à la direction du club. Nous allons d’ailleurs rédiger un communiqué que nous allons rendre public. Mais avant, je ne peux rien dire de plus. En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas là pour casser la JSK. Nous œuvrons pour l’intérêt de la JSK. Dans ce contexte, si le président est perturbé c’est la JSK qui en pâtirait. Hannachi avait annoncé qu’il allait se retirer le 20 février et aujourd’hui on est le 21 et il est toujours en place. Il a décidé de continuer, la loi est avec lui et ce n’est pas à nous de lui demander de partir. Notre mission c’est de faire des propositions qui permettraient au club de dépasser la crise. Si il y a des gens qui veulent casser la JSK, ce n’est pas le cas pour nous. Maintenant, pour ce qui est de la première déclaration du président, je pense qu’il a fait dans la précipitation et cela est une preuve qu’il travaille seul. Nous avons demandé à être reçus dans le seul intérêt du club et avant de nous réserver la réponse, il devait réunir son conseil d’administration avant de se prononcer. Je dirais ce qui est fait est fait. Aujourd’hui, la donne a changé puisque la direction du club nous a contactés et on doit faire avec. Il appartient aux membres de la commission, auxquels je ferai part des discussions que j’ai eu avec la direction, de décider de suites à réserver».

S. K.

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