Au lendemain des législatives, le candidat non élu du FFS en France a qualifié à travers une déclaration diffusée, les élections législatives de « coup de force électoral », estimant, comme ses ex camarades de parti lors de l’épopée Sant’ égidio, que « le pouvoir a décidé de fermer la porte à toute possibilité de changement pacifique dans notre pays. En donnant une majorité écrasante au FLN, il escompte ainsi étouffer dans l’œuf l’éclosion des forces du changement et décourager les militants de la démocratie et les citoyens». En outre, Samir Bouakouir exhorte ses camarades du FFS « à rester vigilants et mobilisés », et met en garde contre « les manœuvres de division et de domestication du parti». A cet effet, il appelle à la tenue d’une conférence nationale des cadres du FFS, pour « rassembler et agir, avec les forces du changement, les femmes, les jeunes, les travailleurs, pour transformer les révoltes populaires à venir en force politique alternative».
