A Tadmaït, les trottoirs sont toujours squattés. Cela se passe au su et au vu de tout le monde, notamment, des autorités locales. Les commerçants et autres revendeurs venus de Tizi-Ouzou, Nacéria ou Boumerdès …occupent les espaces et mettent les piétons dans la gêne. Durant le mois de ramadhan, c’est la pagaille, une anarchie indescriptible. Le scénario des années passées est en train de se produire. La place du cinéma ‘’Le Hoggar’’ est devenue un espace de stationnement pour véhicules. Si à Draâ Ben Khedda les trottoirs sont occupés par les étals de produits alimentaires (pain, fruits et légumes…) et autres articles (ménagers, quincaillerie …), mettant dans la gêne les piétons, à Tadmaït, en plus des produits cités ci-dessus, ce sont des matériaux de construction (qui dit mieux ?) qui tiennent place depuis des lustres. En somme, l‘anarchie règne en maître absolu !
Arous Touil
