L’UFDS tranchera le 20 septembre

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Le Secrétaire général de l’Union des forces démocratiques et sociales (UFDS), Noureddine Bahbouh a plaidé mercredi à Alger pour une révision à la baisse (de 7% à 3%) du taux de voix exigé pour pouvoir prétendre à des sièges dans les assemblées locales élues, qui sert “certains partis uniquement”. M. Bahbouh qui intervenait lors d’une conférence de presse animée au siège de son parti, a indiqué que la participation de sa formation aux prochaines élections locales “demeure tributaire des garanties que présenteront les autorités et dont la plus importante est la baisse à 3% du taux de voix exigé pour pouvoir prétendre à des sièges” dans les assemblées locales élues. “La question de la participation du parti sera tranchée après le 20 septembre», soit après la réunion du bureau national élargi aux représentants du parti au niveau des wilayas, a-t-il indiqué. M. Bahbouh a, en outre, précisé que la réduction du taux imposé “permet de consacrer le principe de l’égalité des chances” ajoutant que ses représentants au parlement “œuvreront dans ce cadre en coordination avec d’autres députés” où il est prévu la proposition d’un projet portant amendement de la loi électorale. Après avoir appelé à “permettre aux partis politique et à la commission nationale de surveillance des élections de jouer un rôle plus important», le Secrétaire général de l’UFDS a souligné que la majorité partisane “n’est pas synonyme de monopole” appelant les citoyens à contribuer à la gestion des prochaines élections locales. S’exprimant sur le nouveau gouvernement, M. Bahbouh a estimé que “les résultats qui seront enregistrés sur le terrain nous diront si ce gouvernement a réussi sa mission ou non”.

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