Il y avait du monde, mercredi dernier, au marché hebdomadaire de Tazmalt. C’est l’occasion tant attendue par les marchands occasionnels pour réaliser de très bons chiffres d’affaire. Ainsi, des dizaines d’étals de four nitures scolaires ont été aménagés par des vendeur s saisonnier s, qui n’avaient pas un moment de répit, à cause de rush des dizaines de clients. Munis de listes, les élèves et leur s parents faisaient les emplettes, devant des étals bien achalandés. Toutefois, la tension monte d’un cran, par moment, entre les vendeurs et les clients, très exigeants du reste, à cause de maladresses de la par t de quelques marchands non rompus à la notion du bon service. Il faudra, aux ménages refaire les calculs, par eux-mêmes, s’ils ne veulent pas se faire arnaquer par quelques vendeur s peu scrupuleux, lesquels peuvent gonfler la facture. En revanche, dans les librairies de la ville, comme nous l’avons constaté dans la même journée, ce n’était pas le grand rush. Il y avait certes des clients, mais pas comme l’affluence au niveau du marché hebdomadaire. L’on évoque la cause des prix des articles, qui seraient moins chers au marché que dans les libraires. A vr ai dire, la différence est presque insignifiante. Et puis c’est logique, puisque les vendeurs au niveau du marché n’ont pas d’autres fr ais à payer que le tr anspor t et les droits communaux. Quant aux libraires, leurs charges sont multiples (location, impôts, assurance, transport,…) ce qui expliquerait la différence dans les prix.
Syphax Y.