Les dirigeants du Club Littoral d’Iflissen, qui a rétrogradé de la régionale deux à la division honneur de la wilaya de Tizi-Ouzou, ont tenu leur assemblée générale ordinaire, au cours de laquelle les deux bilans moral et financier ont été approuvés, à l’unanimité par les membres de l’AG, en présence d’un représentant de la DJS et d’un huissier de justice, comme le stipulent les nouvelles lois sur les associations sportives amateurs. On a également procédé à l’organisation de l’assemblée générale élective, au niveau de la maison de jeunes d’Iflissen, pour élire un nouveau président du CSA et la nouvelle équipe dirigeante. Ainsi, Karim Aït Larbi, dirigeant actif du club, a présenté sa candidature et fut élu à la quasi majorité des membres de l’AG, pour un mandat olympique de quatre ans, remplaçant ainsi le président sortant Akli Tizguine, qui est, pour rappel, le P/APC d’Iflissen. «Je tiens à remercier les membres de l’AG pour leur confiance, on est une seule famille et peu importe celui qui préside le club, l’essentiel c’est d’œuvrer ensemble pour l’intérêt général du club et d’essayer de le replacer au régionale 2. Je ne ménagerai aucun effort et mettrais toute mon expérience au profit du club et de ses jeunes», nous a déclaré le nouveau président.
Reprise des entraînements cette semaine
Les littoraux d’Iflissen n’ont pas encore repris le chemin des entrainements, à l’instar des autres clubs de la wilaya, mais d’après le nouveau président, le club reprendra cette semaine au niveau du stade communal, lequel, pour rappel, n’a pas encore été homologué. Le nouveau président, Karim Aït Larbi, et son staff dirigeant comptent promouvoir de jeunes juniors en équipe première, et les encadrer par les quelques anciens joueurs cadres qui composeront, de par leur expérience, l’ossature de l’équipe. Les littoraux feront de leur mieux pour jouer l’accession, cette saison, même si les choses ne seront guère faciles devant des clubs tels que l’USM Draâ Ben Khedda, l’ES Draâ El Mizan, la JS Tadmaït, le CRB Tizi-Ouzou et la JS Boukhalfa, pour ne citer que ceux-là.
K. K.
