Une nouvelle antenne administrative pour bientôt

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Cette nouvelle structure profitera aux citoyens du village, au même titre que ceux des villages voisins. Elle leur fera, ainsi, éviter les longs déplacements vers le centre-ville pour leurs formalités administratives.

Une nouvelle antenne communale sera bientôt implantée au niveau du village d’Oued Lek’hal, sis à une dizaine de kilomètres au nord du chef-lieu communal d’Aïn Bessam. Cette nouvelle structure sera au bénéfice des citoyens du village, au même titre que ceux des villages voisins, elle leur fera, ainsi, éviter les longs déplacements vers le centre-ville pour leurs formalités administratives. Selon des sources bien informées, les travaux de construction de cette entité administrative démarreront dans les mois prochains. Ainsi, cette antenne devrait couvrir les besoins de prés de deux mille habitants, issus de plusieurs villages et hameaux implantés tout au long du CW75 menant vers la daïra d’El Hachimia, notamment ceux d’Oued Lek’hal, du village Trarfa et de la ferme agricole Haicheur, qui sont actuellement rattachés administrativement au secteur urbain de la commune d’Aïn Bessam. Il faut dire que les habitants de ces villages souffrent, depuis des années, de l’éloignement des services communaux, du fait que pour procéder à une simple légalisation de document administratif ou à un retrait de l’extrait de naissance, ils sont obligé de parcourir une distance d’une dizaine de kilomètres environ, parfois à pied, et se rendre à l’antenne communale de la nouvelle ville ou à celle du centre-ville de Aïn Bessam. Ces citoyens se sont plaints, maintes fois, de leur situation auprès des autorités locales, réclamant la création d’une antenne communale, à proximité de leurs habitations, qui leur évitera tous ces tracas et déplacements. «La réalisation d’une antenne administrative était une urgence pour nous, nous avons interpellé les autorités locales maintes fois, leur adressant plusieurs doléances et requêtes à ce sujet. Après une longue attente, on peut enfin pousser un soupir de soulagement», affirme un villageois.

Oussama K.

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