En vertu du droit de réponse, nous vous prions d’insérer la présente mise au point au lieu et place de l’article paru le 25/10/2005 sous le titre “Affaire du CEM Nacéria” (Béjaïa) en vous apportant les précisions suivantes : 1-Il ne s’agit guère d’un ex-Emir de l’AIS ni même d’un membre et à aucun moment il n’a bénéficié des dispositions de la loi sur la concorde civile.2-Concernant les frais scolaires de son fils inscrit auparavant à l’école fondamentale Base 7 Sidi Ahmed-Béjaïa, ils ont été payés ci-joint : le reçu n°22 du 10-09-2005. Donc, il ne s’agit pas d’un refus de payer mais seulement d’un malentendu pour lequel il s’est déplacé afin d’expliquer au responsable de cet établissement que le paiement a été déjà effectué en présentant le reçu pour justifier le payement au niveau de l’ancien établissement puisqu’il s’agit d’un transfert.3-Concernant l’accrochage, il n’a jamais impliqué une grande partie de fonctionnaires, mais seulement le directeur de l’établissement, suite à une provocation et un excès de zèle de sa part puisqu’il n’a pas voulu entendre raison, allant jusqu’à l’agresser devant son fils.4-Quand à la grève de protestation, elle n’a jamais eu lieu, conformément à la réglementation en matière de droit de grève. Il s’agit d’une décision du directeur d’évacuer les élèves sans consulter la section syndicale.
Famille de la victime