L’anarchie s’installe au chef-lieu communal

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L’un des problèmes, vécus au quotidien par les citoyens de Ouaguenoun, est  le manque d’arrêts des fourgons de transport de voyageurs desservant les différentes lignes. 

Auchef-lieu d’Ouaguenoun, ces fourgons de transport prennent leurs voyageurs presque au milieu de la route, ce qui crée une grande anarchie dans la circulation automobile et même des personnes. Les fourgons et les bus de la ligne reliant Ouaguenoun à Tizi-Ouzou, ceux des lignes reliant Tikobaïne à Djebla, Boudjima et au village Thaouinine, stationnent partout sur la route qui traverse le chef lieu communal, ajouté à cela d’autres véhicules, notamment ceux à gros tonnage, qui fréquentent cet axe exigu, ce qui cause de grandes perturbations de la circulation et des embouteillages monstres.  Par ailleurs, la situation s’aggrave lors des heures de pointe, notamment à la sortie des écoliers, créant ainsi une grande anarchie et présentant d’énormes risques aux élèves qui fréquentent la route du chef-lieu au quotidien. Devant cette situation critique et dangereuse, les citoyens ainsi que les transporteurs espèrent que les autorités prendront en charge ce problème par la réalisation d’une station bien aménagée, afin de mettre un terme à ce calvaire quotidien et d’éviter les récurrentes disputes des usagers de la route avec les policiers de cette localité qui interviennent souvent pour mettre un terme aux stationnements anarchiques. Enfin, il est à signaler que ce genre de problème n’est pas l’apanage de Ouaguenoun mais de plusieurs autres localités, telles que Boudjima. Cela est dû au manque de terrains domaniaux qui pourraient être consacrés à la réalisation de stations de transport.                  

R. Arkam

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