D’ailleurs, l’absence de l’entraîneur en chef des Crabes à Béjaïa à la reprise, a soulevé moults interrogations au sein des supporters qui étaient déjà sous l’emprise d’une rumeur faisant état d’un éventuel retrait du coach de la barre technique du MOB.Dans le souci d’en savoir un peu plus et d’éclairer la lanterne de nos lecteurs, nous avons contacté le principal intéressé, lequel nous a déclaré au téléphone. “Jusqu’à preuve du contraire, je suis toujours l’entraîneur du MOB. Je n’ai pas l’habitude de faire faux bond.”Il est vrai que les dernières informations rapportées à ce sujet par certains organes de presse ont fini par jeter le trouble. A présent, le coach bédjaoui rassure le MOB, même si ses souhaits vont vers la régularisation de sa situation financière et de celle des joueurs dans les meilleurs délais.Le président Rezki, tout en réaffirmant sa reconnaissance à son entraîneur qu’il “considère comme l’un des meilleurs techniciens du football algériens”, se dit conscient de la préoccupation de son entraîneur et de ses joueurs ; “Nous aurions pu être à jour dans le payement de nos employés si les procédures administratives, étaient plus souples”, a-t-il déclaré. Le boss bédjaoui, qui veille au bon déroulement des choses au sein de sa formation est en train de redoubler d’efforts pour honorer ses engagements envers les joueurs et son entraîneur, le plus vite possible. “D’ici là, la semaine prochaine, au plus tard, d’autres tranches supplémentaires de leurs dûs leur seront versés”, a-t-il encore expliqué.En fait, ce qui a quelque peu contrarié les plans et les prévisions de premier responsable du MOB. C’est son “instinct” de bon gestionnaire, car il aurait pu régulariser toutes ces situations avec le milliard de centimes subventions de l’APC, mais, lui a préféré donné une meilleure crédibilité au club en procédant d’abord par le payement des dettes dont a hérité son club lors de la saison dernière.Enfin, le peu de joueurs qui n’ont pas encore perçus leur dû le seront incessamment, car les prévisions de rentrées d’argents sont plus que certaines.
Kaci. A./Hamid