Le siège actuel qui fait office d’une agence de la Banque d’agriculture et de développement rural (BADR) est loin d’être conforme à l’usage. Les clients comme le personnel dénoncent l’espace de cette agence, confiné et exigu. En effet, l’extérieur de cette structure, qui date de l’ère coloniale, est indigne d’un organisme financier. À l’intérieur, c’est encore pire. Le siège n’offre plus l’aspect architectural d’une institution de l’Etat et ne répond pas aux normes de construction. « Elle ressemble à une cave qui n’a même pas de fenêtres. Dépourvue même d’une salle d’attente. Les clients, qui sont nombreux, s’entassent d’ailleurs dans une seule salle ». S’insurge une veuve à l’intérieur dudit siège BADR. Un pensionnaire ajoute : « Nous réclamons jour et nuit des responsables de cette agence dans l’optique d’amélioration un tant soit peu de l’état des lieux. Hélas, ces fonctionnaires se comtente seulement de nous dire que ce n’est pas eux qui s’occupent de ce problème ». D’autre part, faut-il le dire, cette banque n’offre pas, non plus, les bonnes conditions de travail pour le personnel qui n’arrive pas à assurer ses tâches facilement. « Comme l’espace à l’intérieur ne peut contenir qu’une dizaine de personnes, la majorité des clients attendent en d’hors de la structure, exposaient aux conditions aléatoire du climat, c’est dire au chaud et au froid. C’est aberrant », martèlera un agent de ladite banque. À ce sujet, les employés de cette banque réclament un espace plus adéquat, spacieux et surtout sécurisé afin d’assurer une bonne prestation aux clients.
B. K.