Ils ont dit…

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Le réalisateur,  Ahmed Rachedi

«Je remercie la population pour son accueil»

La Dépêche De Kabylie: Combien de séquences avez-vous prévues de tourner à Draâ El Mizan ?

M. Ahmed Rachedi: Quatre séquences, car nous avons recréé une partie de la ville ancienne de Draâ El Mizan dans un studio à Ben Aknoun, donc les séquences tournées aujourd’hui seront ajoutées aux autres. Dommage que les prochaines générations ne retrouvent plus les traces d’antan alors qu’en Egypte par exemple, des vestiges qui datent de plusieurs siècles sont préservés.

Pouvez-vous parler à nos lecteurs de ce film historique consacré à l’un des héros de la révolution qui est Krim Belkacem ?

Nous avons commencé le tournage le 15 septembre passé et il nous reste encore trois semaines de tournage.

Abane Ramdane a été l’un des compagnons de Krim Belkacem, qu’est-ce que vous avez invoqué de cette relation dans le film ?

Il faut attendre la sortie du film. Je ne vais quand même pas vous le raconter. Cela ne se fait pas.

Avez-vous d’autres projets ?

Beaucoup de projets en perspective, la vie du colonel Lotfi, le colonel Si El Haouès, entre autres, toujours en collaboration avec le ministère des Moudjahiddine.

Votre mot de la fin …

Je remercie vivement la population de Draâ El Mizan pour son accueil chaleureux ainsi que sa grande collaboration. 

 Propos recueillis par Essaid  Mouas

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L’acteur principal Allam Sami

«Ce n’est pas facile d’incarner Krim Belkacem»

La Dépêche De Kabylie : Vous interprétez, le rôle de Krim Belkacem. Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

M. Allam Sami : Je m’appelle Sami Allam. Je suis âgé de 37 ans et je suis comédien professionnel ayant fait le conservatoire. J’ai joué dans de nombreux films, comme j’ai également travaillé comme assistant de réalisation et réalisateur.

C’est la deuxième fois que vous interprétez le personnage de Krim  Belkacem, après le film consacré à Mustapha Ben Boulaïd…

Après Ben Boulaïd, j’ai tourné dans un autre film qui va sortir prochainement dont le titre est «1er novembre».

En interprétant un tel rôle, quel sentiment éprouvez-vous?

C’est vrai que ce n’est pas facile de se mettre dans la peau d’une personnalité aussi prestigieuse que Krim Belkacem. Mais il faut bien que quelqu’un assume cette grande responsabilité car au-delà de la vanité individuelle, il fallait s’élever et être de plus près de la personnalité du héros aux moments des faits. Pour cela, j’ai consacré beaucoup de mon temps à étudier et à me renseigner sur le personnage, en me rapprochant des personnes qui l’avaient côtoyé pour cerner sa personnalité son tempérament…

Pour conclure…

Je vous remercie et je salue, par le biais de La Dépêche de Kabylie, tous les citoyens de Draâ El Mizan pour le chaleureux accueil qu’ils nous ont réservé.          

Propos recueillis par Essaid  Mouas

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