Inauguré le 1er novembre 2011, le foyer de jeunes, sis au village Thighilt El Hadj Ali, à 3 kilomètres du chef-lieu de la commune de Larbaâ Nath Irathen, se trouve jusqu’au jour d’aujourd’hui fermé. Selon les dires de quelques habitants de la région, cette fermeture est due notamment à l’absence d’un personnel capable d’assurer son fonctionnement. Cette structure de jeunes est équipée de tous les moyens nécessaires pour sa mise en fonction, maismalheureusement son ouverture tarde à voir le jour. La jeunesse de ladite localité livrée àelle-même, réclame chaque jour son ouverture. Bien que les habitants se demandent à qu’il faut confier les modalités de gestion de cette structure, au comité du village, aux associations culturelles ou bien à une direction de la jeunesse. Cette situation fragilise les jeunes de ce village, les rends ainsi plus vulnérables aux fléaux sociaux. De ce fait, leur prise en charge effective est impérative, en vu de leur assurer les droits à la formation, à l’emploi, à la culture, au sport et aux loisirs.
S. Dahbia