Les abribus dégradél Pour répondre au besoin pressant des usagers des transports de voyageurs, la municipalité a construit dans des arrêts où l’afflux est considéré important, des abrisbus, permettant ainsi aux citoyens, travailleurs et écoliers, en particulier, utilisant fréquemment ces loges de grande utilité publique de se mettre à l’abri du soleil, de la pluie et du vent durant l’attente de l’arrivée des bus.D’une architecture bien conçue, ces petites baraques charpentées avec de la tuile métallique rouge sont dotées de banquettes en béton faïencées au même titre que les murs intérieurs dont certains de ces matériaux ont volé en éclats.Exposés à la furie des petits délinquants qui ne sont autres que nos enfants, ces abribus ne datant pas de plus de trois ans, se trouvent déjà pour certains déjà dans des états déplorables, subissant des dégradations quasi-quotidiennes de la part de ceux sensés y trouver refuge pendant les intempéries.
Des travaux pour l’“épate”l Lors de la visite du wali, l’entreprise en charge des travaux d’aménagement de l’entrée ouest de la ville de Seddouk a mobilisé un arsenal d’engins qui vrombissaient de partout mais, hélas, une fois cette visite terminée, tout le beau décor s’est éclipsé laissant une ville en grand chantier.Ce qui est aberrant, ce sont ces ouvrages délimitant les bretelles de routes du rond point Imazighane qu’on a creusé en caniveaux larges et profonds d’environ 50 cm, abandonnés à leur triste sort, mettant sérieusement en danger les automobilistes et les piétons.Cet état de fait n’a pas sensibilisé les autorités locales à lancer une injonction pour une remise en l’état dans les délais impartis à ces bretelles.
L. Beddar