«C’est Halilhodzic qui choisira son adjoint»

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L’entraîneur de la sélection algérienne, Vahid Halilhodzic, a les coudées franches pour choisir son futur assistant appelé bientôt à renforcer son staff technique, a indiqué hier, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua. « Ce n’est pas moi qui vais choisir cet entraîneur-adjoint, je vais laisser le choix à Halilhodzic, qui a réclamé la nécessité de renforcer le staff technique », a affirmé le premier responsable de l’instance fédérale à la radio nationale. Le président de la FAF a réaffirmé que la désignation d’un entraîneur-adjoint, « n’est pas une urgence, cela se fera d’ailleurs après le 26 mars (date du match Algérie-Bénin) ». Evoquant le cas de l’entraîneur des gardiens de l’équipe nationale, Abdenour Kaoua, le président de la FAF a précisé que l’ancien portier du MC Alger « ne fait plus partie de l’encadrement de la sélection », ajoutant qu’il a été chargé de la formation des entraîneurs des gardiens de but. 

«Tout club qui refuse d’ouvrir son capital risque la relégation»

Les clubs professionnels algériens dont les responsables refusent d’ouvrir les capitaux sociaux de leurs sociétés sportives par actions (SSPA) risquent la rétrogradation, selon les nouveaux textes du professionnalisme qui seront bientôt mis en application, a indiqué hier, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua. « Des textes réglementaires sur le professionnalisme entreront bientôt en vigueur, en vertu desquels tout club qui refuse d’ouvrir son capital social aux investisseurs risque la rétrogradation », a déclaré le premier responsable de la FAF à la radio nationale. « Si d’éventuels investisseurs apportent les preuves d’un quelconque obstacle dressé par les dirigeants des clubs concernés, ces derniers écoperont de sanctions allant jusqu’à leur descente en division inférieure », a-t-il ajouté. Depuis le passage du football algérien vers le professionnalisme, lors de l’été 2010, la quasi totalité des clubs, reconvertis en sociétés sportives par actions, ont refusé d’ouvrir les capitaux sociaux de leurs sociétés respectives pour préserver leurs postes. « Je connais beaucoup de formations dont le capital social ne dépasse pas un million de dinars, malgré cela, ils refusaient toujours d’ouvrir les portes de leurs clubs aux éventuels investisseurs. Avec cette manière d’agir, ils sont en train de porter préjudice à leurs équipes », a regretté Raouraoua.                                                    

 Synthèse R. S.

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