«Le parc des Grands vents ouvert avant l’été»

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Le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et de la Ville, Amara Benyounès, a affirmé hier à Alger, que le parc des Grands vents sera ouvert au public avant l’été.

Cette déclaration a été faite lors d’une opération de plantation d’arbres au niveau de l’extension du  parc des Grands vents, auquel est rattachée, désormais, la réhabilitation de la décharge d’Ouled Fayet en jardin d’excellence. Le ministre a mis en exergue l’importance de promouvoir la culture de la protection de l’environnement chez les citoyens, notamment les enfants et les jeunes. « Il faut inculquer davantage la culture de la protection de l’environnement, car on l’a perdu ces dernières années. La plantation des arbres, il ne faut pas qu’elle se fasse uniquement à l’occasion de la journée mondiale de l’Arbre », a fait remarquer, M. Benyounès.   Selon  le directeur du parc des Grands vents, cette opération de plantation de 1000 arbres, qui a vu la participation du personnel du ministère et des enfants de SOS-village de Draria, intervient dans le cadre de la réhabilitation de la décharge d’Ouled Fayet. La superficie globale de ce parc est de 1.059 hectares, répartie sur cinq communes, à savoir Dély Brahim (196 hectares), Ouled Fayet (163 hectares, dont 20 destinés à l’espace vert), El-Achour (544 hectares, dont 97 destinés à l’espace vert), Baba Hassen (96 hectares destinés à l’espace vert) et Draria (20 hectares, espace vert). Sur les 1.059 hectares servant d’emprise au projet du parc des Grands vents , 233 hectares sont ainsi réservés à l’espace vert. Le plan d’aménagement de ce parc a été rendu public officiellement en septembre 2008 par le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme et le principal porteur du projet est le groupe émirati EIIC (Emirati International Investment Company). A retenir que la convention d’investissement portant sur la réalisation de ce parc de loisirs a été signée, en mars 2011, par l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) et le groupe émirati EIIC.

 Samira Saïdj

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