Impressions … Impressions :

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Djamel Allam (Olivier d’or du meilleur film)  

«Honoré par cette distinction»

«Ce festival est tout simplement formidable. Je crois qu’il a atteint sa vitesse de croisière, et c’est bien qu’il existe. M. Assad a fait du bon travail. Quant au film, c’est un projet que je voulais réaliser depuis longtemps. A vrai dire, c’est une idée de chanson transformée en film. Le fait que le public ait bien accueilli mon film et que le jury l’ait apprécié me fait vraiment plaisir. Je suis content et très honoré par cette distinction, surtout à mon âge et après les cinq ou six prix internationaux que j’ai reçus pour mes chansons. De plus, je tiens à préciser que je n’étais pas du tout venu avec un esprit de compétition. Pour la suite, je présenterai mon film à plusieurs festivals, notamment à Dakar, à Genève et à Montréal. Ce prix m’aidera énormément à le présenter un peu partout. C’est un film algérien à 100%. Actuellement, je suis en train d’écrire un autre court-métrage. Le tournage pourrait débuter d’ici une année ».

Yann Seweryn, petit fils de Taos Amrouche

«Très content d’avoir participé»

«Je suis vraiment très content d’avoir été invité à ce festival et d’y avoir participer. Je pense que c’est festival absolument magnifique. Il a pu créer des manifestations culturelles et différentes activités formidables durant toute une semaine. Je suis très heureux de voir que les jeunes font du cinéma. Ils ont une production vraiment intéressante. Ce qui m’a le plus fait plaisir c’est que le public du 7ème art est de plus en plus nombreux. Je souhaite revenir dès que possible. Quant au cinéma amazigh, je ne pourrais en juger car je ne le connais pas assez bien. Je devrais m’informer un peu plus. Mais je pense qu’à l’exemple des grands maîtres, comme Abderrahmane Bouguermouh, les jeunes doivent continuer à ambitionner de faire du grand cinéma et tout faire pour la promotion de leur culture ».

Slimane Hachi, représentant du ministère de la culture  

«Quel chemin parcouru !»

«Quel chemin parcouru, entre l’époque où un écrivain mondialement connu ne pouvait pas donner une conférence de presse dans une université de son pays et aujourd’hui. La ministre de la Culture m’a expressément demandé de remercier M. Assad pour son travail ainsi que pour ce festival qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Elle m’a également délégué pour donner la clôture officielle du festival. C’était une semaine de partage et de richesse culturelle ».

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