L’inspection académique de Seddouk qui est, ni plus ni moins, qu’un cagibi insalubre installé depuis sa création, dans une baraque en préfabriqué datant de l’ère coloniale.
En plus de ses mauvaises conditions de travail, cet établissement du savoir située dans une cité où s’est déclaré il y a quelques jours, un incendie qui a ravagé les sièges de l’ONEC et des handicapés, ainsi que trois anciennes maisons, est souvent la cible privilégiée des voleurs, notamment, avec des portes et des fenêtres délabrées, ils trouvent les moyens et les accès faciles pour la cambrioler. « En un mois, les voleurs nous ont cambriolés trois fois, ils ont pris tout le matériel informatique qui se trouvait sur les lieux, dont les ordinateurs, les imprimantes et les fournitures » dira un employé de cette inspection. Les autorités locales doivent-elles attendre encore que cet établissement subisse le même sort, pour lui attribuer des locaux décents où les employés travailleront dans de bonnes conditions.
L. Beddar.