Clôture en apothéose

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La ville côtière d’Azeffoun a vibré durant toute la soirée de samedi dernier, au rythme d’un gala artistique et d’autres activités d’animation. C’est l’association culturelle Timezguida N’Ath Illoul qui a clôturé les trois journées dédiées à la mémoire de l’écrivain et journaliste Tahar Djaout. Une brochette d’artistes de la région a égayé l’assistance. Des pièces théâtrales pour enfants de la jeune troupe du centre culturel de la ville d’Azeffoun, qui porte aussi le nom de Tahar Djaout, ont été présentées au public. La manière, par laquelle elles étaient présentées, a épaté plus d’un. Des poèmes kabyles, composés à la mémoire de Tahar Djaout, premier journaliste algérien assassiné le 26 mai 1993, ont été récités.  Des femmes, des enfants et des hommes ont contribué pour la réussite de cet évènement. Les membres de l’association Timezguida N’Ath Illoul ont donné rendez-vous pour l’année prochaine. « Les poètes ne meurent jamais », dira l’un des membres de cette association. Une phrase qui résume, à elle seul, l’estime que les jeunes d’aujourd’hui accordent au poète, écrivain et journaliste, Tahar Djaout.                      

Zahir Fellas

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