Après le succès qu’a connu la première édition de la comédie “Tampi et Je m’en fou», auprès du public local, voici que la seconde est annoncée. Le film, relatant les éternelles aventures des deux frères sera, en effet, prochainement, disponible chez les disquaires. Un duo loufoque qui a tant fait rire les grands et les petits à travers des histoires pour le moins “disjonctées”. Les deux frères, Tampis et Je m’en fous, reviennent, cette fois-ci, avec d’autres résolutions. C‘est autour de cette nouvelle vision des choses des deux frères que le film, dans sa nouvelle édition, a été réalisé. Le tournage de ce dernier a eu lieu au mois de mai dernier, au niveau de la daïra de Mekla. Tampis et Je m’en fou semble, dans un premier temps, avoir pris conscience de leurs responsabilités. Pour eux, il est, en effet, primordial de cesser toutes leurs “bêtises” et autres “enfantillages” pour tenter de reprendre le droit chemin. Mais ceci est bien évidement sans compter sur la nature humaine qui finie toujours par reprendre le dessus, quoiqu’il arrive. Les gens peuvent-t-il réellement changer? Qu’importe, étant donné que c’est sous leur vraie nature et avec leurs vrais visages que les deux frères ont réjoui le publique dans la première partie du film. Hamennad Farid, dans le rôle de Tampis et Dali Djilali qui interprète, quand à lui, pour la première fois, le jeune frère, Je m’en fou, sont, de nouveau, réunis au côté de Abès Soltan dans le rôle de Samira, autour de cette nouvelle histoire écrite par Hammenad Farid. Quatre-vingt-dix minutes de rire sont garanties dans cette comédie qui met en avant, par la même occasion, des réalités du vécu quotidien. Le film d’Ahcène Mokhtari sera probablement disponible pour le mois sacré du Ramadhan et serait diffusé par la télévision algérienne. La deuxième partie du film en question a été réalisée grâce à la collaboration des deux APC de Mekla et d’Aït Khlili, ainsi qu’à la maison de jeunes de Mekla qui a, d’ailleurs, accueilli une bonne partie du tournage. Tourné avec le studio photo “Les beaux Arts” de Bouira et les sociétés de production “VIP Production” et “Soudani production», le film vaut néanmoins le détours.
T. Ch.