Le dossier en rapport avec l’étude du nouveau siège d’APC, au profit de la commune d’Ighram, moisit, depuis des lustres, dans les tiroirs de l’administration. « Nous avons réalisé sur les ressources propres de l’APC, l’étude de ce projet. Le dossier est finalisé et transmis à qui de droit, depuis l’année 2009. Hélas, jusqu’au jour d’aujourd’hui, le projet n’a connu aucune évolution », se désole le maire d’Ighram. Selon l’édile communal, la concrétisation de ce nouveau siège, en souffrance, revêt un caractère éminemment important. Selon le maire, les locaux actuels, abritant le siège de la mairie, n’obéissent à aucune norme. « La bâtisse date de 2004, année de création de la commune d’Ighram », rappelle-t-il. En dépit des nombreuses opérations d’extension et d’aménagement dont la bâtisse a fait l’objet, cette dernière demeure encore trop exiguë. Le fonctionnement de la collectivité locale en pâtit. Des services logent dans des baraquements en tôle ondulée. C’est le cas, précise le P/APC, de la régie des eaux, ainsi que le bureau du régisseur. Même le staff aux commandes de la municipalité ajoute-t-il, n’est pas installé dans toute sa composante, de sorte que plusieurs élus se retrouvent à partager le même bureau.
N. M.